ᐃᓄᒃ [Inuk], en inuktitut signifie « l’homme ». 
David Gauchard crée un voyage imaginaire et documentaire au coeur de la vie des hommes et des femmes qui peuplent l’Arctique. Une aventure polaire toute de neige, traîneaux, aurores boréales, phoques, igloos, et blizzard…

Julien Duval s’empare de Dans ma maison de papier, j’ai des poèmes sur le feu, un conte poétique de Philippe Dorin qui confronte les peurs de l’enfance à celles de la vieillesse et de la mort avec une tendre sérénité. Et si l’on allumait la lumière ? La vie peut-être ne s’arrêterait jamais…

Dans ma maison de papier j’ai des poémes sur le feu est un texte beau à pleurer : À son dernier instant, le temps d’une pensée, une vieille dame ramène ses chaussures à la petite fille qu’elle était. La mort (un promeneur) rôde autour d’elles en chantonnant sa petite musique, mais se retrouvant toutes les deux dans cette pensée, elles essaient d’échapper au froid de l’hiver, de retenir le temps, leur souffle, la mort… Ce texte est comme un geste poétique d’une infinie délicatesse qui parle de la fugacité de la vie, de sa beauté surtout.

David Lescot offre, pour sa première incursion auprès du « jeune public », un spectacle pétillant et poétique autour de l’angoisse de l’entrée en sixième : à l’image de ses trois interprètes, J’ai trop peur conjugue à merveille justesse et virtuosité.

Sur un texte de Tiago Rodrigues, Thomas Quillardet raconte la crise économique portugaise vue par une petite fille. Un hymne à l’imagination et à la poésie, destiné aux « adultes à partir de 10 ans ».